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dimanche 28 décembre 2014

Romains tardifs : fantassins (2)

J'ai terminé ma première unité de fantassins romains ! Plus que deux... La suivante est déjà entamée : j'ai deux figurines peintes, la troisième doit simplement recevoir un bouclier.

Place aux images.

I finished my first Roman unit yesterday. Eight warriors ready to fight against invaders from everywhere.



The first minis for my next unit.



vendredi 19 décembre 2014

Le Défi : quand Ragnar rencontre les Slaves

Ragnar et son équipage, alors qu'ils exploraient les terres de l'Est au climat adouci par la venue du printemps, tombèrent sur une bande de Slaves. Ces derniers, se sentant agressés par l'arrivée d'étrangers qui ne semblaient pas disposés à simplement passer ou commercer, se mirent en ligne, prêts à charger la troupe adverse. Leur chef, un grand gaillard à la barbe couleur de feu, s'avança au milieu de la plaine, vociférant ce qui s'apparentait à des insultes à l'adresse de Ragnar. 

Ragnar s'avança à son tour, prêt à relever le défi lancé par le Slave, tandis que ses guerriers l'encourageaient.

Au Nord, les troupes slaves. Au Sud, les vikings.
Voici donc le résumé d'une partie que nous avons jouée dans la semaine. Le scénario, choisi par les dés, fut donc le Défi. Cela nous a donné l'occasion de tester la nouvelle mouture avec les amendements apportés par la FAQ de la rentrée.

Fabien jouait des Vikings menés par Ragnar, j'avais choisi des Rus païens menés par un seigneur classique.

Séance d'insultes, le préliminaire obligatoire à tout bon combat entre Seigneur.
Les troupes que j'avais choisies ; une unité de 12 guerriers, deux unités de 10 guerriers, un prêtre-guerrier et une unité de nomades des steppes.


Les troupes de Fabien : deux unités de 4 gardes, une unité de berserkers, une unité de 8 guerriers et une unité de 12 levées.



Fabien remporte le jet d'initiative et choisit d'ouvrir le bal.

Sans surprise, il utilise le pouvoir de Ragnar pour avancer toutes ses unités. Il engage un combat contre mon Seigneur qui ne donne rien, le score reste à 0 pour les deux camps.

Les jets pour toucher de Ragnar : certainement le manque d'échauffement.

Je commence mon tour de manière tout à fait pacifique : profitant de ce que les troupes vikings se sont rapprochées, et du fait que les Seigneurs ne peuvent en aucun cas mourir sur ce scénario, je lance la colère de l'Est : un garde et un berserker n'y résistent pas !

Les guerriers arrivent pour soutenir leur Seigneur. Les nomades bougent, tirent mais ne tuent pas.




Tour 2 pour Ragnar. Les gardes vikings, alléchés par l'odeur du poney des steppes et la promesse d'un bon steak grillé au feu de bois, se précipitent sur les nomades pour les mettre hors d'état de nuire.


On pouvait s'attendre à ce que les nomades servent de cible d'entraînement. Par miracle, il n'y a que deux morts dans l'unité.


Ragnar retourne au combat, le duel se solde encore par une égalité.

  
Ragnar ! Ragnar ! Ragnar !



Lors de mon tour, mon Seigneur s'énerve à nouveau et continue de faire le ménage : les berserkers sont rayés de la carte, des gardes et des guerriers meurent, et deux braves guerriers slaves passent de vie à trépas à cause de la colère aveuglante de leur chef.

Comme le scénario amène à jouer de manière groupée, la capacité Colère de l'Est est très facile à caser.
Les gardes vikings abandonnent les nomades et se précipitent sur le flanc des gardes du corps du seigneur slave. Ils font un véritable carnage dans les rangs. Cela ne suffit pas pour que Ragnar commence à marquer des points, le duel de chefs se solde à nouveau par une égalité.


Les guerriers slaves chargent les levées, histoire de nettoyer le terrain. Ils sont très fiers de leur exploit (qui n'en est pas tellement un).


Ragnar se retrouve donc en position de devoir les charger s'il vient à s'activer pour un mouvement.


Le seigneur a perdu son unité de gardes du corps ? Pas grave, une autre vient la remplacer. Cela redonne du mordant au seigneur qui parvient à infliger une blessure à Ragnar. Cela fait un point en ma faveur.


Ragnar engage les guerriers qui se trouvaient proches de lui (TC), il reste un survivant dans l'affaire, ce qui fait que je garde encore mes six dés Saga à lancer sur le plateau.

Je déclenche le pouvoir du prêtre guerrier et l'envoie, accompagné d'une unité, éliminer l'unité de guerriers vikings qui se trouve aux côtés de Ragnar.

Ragnar cherche ses troupes. Il ne reste plus grand monde pour le soutenir.
Mon Seigneur engage Ragnar et parvient à marquer cinq points de victoire dans l'affaire : merci les touches automatiques des Loups de l'Est.

Un dernier combat pour Ragnar.
Fabien tente une dernière fois de grapiller des points de victoire, mais j'ai encore trop de troupes à sacrifier pour annuler les blessures de mon Seigneur et pleins de dés Saga en réserve, tandis que lui n'a plus que Ragnar pour combattre, et presque plus de dés Saga.



Nous décidons d'un commun accord d'arrêter la partie à la fin du tour 5, avec 7 points de victoire en ma faveur contre 0 pour Fabien.


Mais Ragnar reviendra... Encore plus hargneux !

jeudi 18 décembre 2014

Hiberno-nordiques !

Salut,

J'ai profité de ma dernière partie Saga pour prendre en photo une bande peinte il y a un an déjà, pour la précédente édition de Seclin. On pourrait presque croire que je ne suis pas très ponctuel dans la mise à jour de l'avancée de mes projets sur ce blog. ^^

Il s'agit donc d'une bande d'Hiberno-Nordiques, croisement improbable entre des psychopathes de Scandinavie et des psychopathes d'Irlande, en bref, des poètes. En termes de jeu, je suis loin de pouvoir prétendre maîtriser cette bande de fous, mais le concept du tableau est particulièrement amusant, quoi qu'assez peu fiable, et la peinture de figurines de Vikings avec des motifs celtiques m'a bien amusé.

Place aux images !
Le chef. Des fois, il se fait appeler Brodir, et dernièrement il s'est fait passer pour Ragnar. Figurine Gripping Beast, chez eux il s'appelle Gunnar. Allez comprendre....



Des Gardes. Figurines Foundry.


Plus de Gardes.

Encore plus de Gardes.

De même, mais figurines Gripping Beast sculptées par Bill, de Footsore Miniatures.


Toujours du Garde. Cette fois, c'est des Crusader miniatures.
Oui, ça fait un paquet de Gardes, mais il en faut 20 pour jouer Brodir, qui à mon avis est la compo Hiberno-Nordique la plus amusante à jouer (même si probablement la moins polyvalente).
Le Scalde, dont le verbe pompeux porte mon Seigneur vers des sommets de virtuosité. Ou bien des fois vers des maux de têtes assommants. Et des fois, il se tait et rejoint les Guerriers... Figurine Musketeer Miniatures.


Des psychopathes particulièrement psychopatiques, qui me servent de Berserkers quand je joue Vikings. Figurines Foundry.

Les mêmes qu'au-dessus, mais un peu plus calmes.
Les Levées, des Irlandais en caleçon avec des bâtons pointus. Figurines Crusader Miniatures.

Des Guerriers. Celui à gauche est un Scot Crusader, les trois autres des Gallois Gripping Beast.

Plus de Guerriers. Figurines Gripping Beast et Crusader.

Les mêmes, de dos. Le défilé de mode des rayures & carreaux.

Cinq autres Guerriers, qui eux ont été peints par Julie. Il y a du Crusader, du Gripping Beast et du Musketeer.

Enfin, un Seigneur typé celtique, pour quand je voudrai jouer Irlandais ou Scots.

La bande au complet.
Comme on peut le voir, c'est un bric-à-brac de marques de figurines : j'ai pris tout ce qui restait dans les cartons après que Julie a eu fini son armée de Vikings pour WAB / CoE (Resquiescant In Pace...), d'où un effet un peu disparate.

La suite du programme : peindre plus de Guerriers irlandais, pour pouvoir jouer les factions celtiques de manière plus confortable. Quatre d'entre eux sont peints, n'attendant plus que soclage et boucliers (mais je suis en rade d'inspiration à ce sujet en ce moment, donc ça peut traîner longtemps...) ; et quatre autres ont subi une séance de maquillage au greenstuff pour lutter contre la gémellité congénitale des figurines Crusader, et n'attendent plus que de prendre leur tour de peinture.

Je prévois aussi de peindre quelques figurines de Vikings plus classiques, afin de pouvoir jouer ces sympathiques marchands ambulants ailleurs qu'en Grande Bretagne.

Mais ceci est une autre histoire.